Du 27 Juillet au 31 Juillet 2025

Rigoletto
Opéra


  • Odéon d’Hérode Atticus
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Rigoletto

Dans le cadre du Festival d’Athènes Épidaure

Présentation

La reprise de Rigoletto de Giuseppe Verdi, dans la mise en scène de Katerina Evangelatos, marquera la fin de la saison artistique 2024/25, à l’Odéon d’Hérode Atticus.

Dans Rigoletto, l’un des opéras les plus populaires du répertoire lyrique, Verdi tourne la page dans son parcours de compositeur et propose une œuvre aux intentions claires et une disposition d’expérimentation accrue. Les alternances entre scènes lyriques et dramatiques assurent la continuité de l’intrigue qui évolue à grande vitesse.

L’intrigue porte sur l’amour de Gilda, la fille du bouffon bossu de la cour, Rigoletto, pour le débauché Duc de Mantoue, qui se présente à elle comme un étudiant pauvre. Pour venger l’honneur perdu de sa fille, Rigoletto élabore un plan pour assassiner le duc. Lorsqu’elle découvre le projet de son père, Gilda décide de sauver son bien-aimé et de se sacrifier en prenant sa place.

Metteur en scène reconnue du théâtre et de l’opéra et directrice artistique du Festival d’Athènes Épidaure, Katerina Evangelatos transpose l’intrigue de Rigoletto dans la province italienne en plein décadence des années ‘80, où la corruption, la criminalité et les viols cachent la réalité d’une société conservatrice, bigote et superstitieuse, qui sous-estime profondément les femmes. Adoptant une approche solide et cohérente du livret et de la musique de l’œuvre, avec l’aide de son équipe de collaborateurs (décors d’Eva Manidaki, costumes d’Alan Hranitelj, chorégraphie de Patricia Aperghi, lumières d’Eleftheria Deko), Evangelatou entreprend d’éclairer le caractère sombre et contradictoire du personnage de Rigoletto. La metteuse en scène note : « Le cycle de la violence que décrit Verdi dans Rigoletto est transféré dans le microcosme de la province italienne des années ‘80, où domine le crime organisé. La corruption, les crimes et les viols sont le vrai visage d’une société bigote, conservatrice et superstitieuse ».

 

Distribution

Direction musicale : Derrick Inouye

Mise en scène : Katerina Evangelatos

Décors : Eva Manidaki
Costumes : Alan Hranitelj

Chorégraphie : Patricia Aperghi

Lumières : Eleftheria Deko

Chef de chœur : Agathangelos Georgakatos

Dans le rôle-titre Dimitri Platanias et Tassis Christoyannis Avec l’Orchestre, le Chœur et les Solistes du GNO

 

 

 

 

 

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